Mise à jour le 21 Octobre 2017












Electricité Sale : Dirty Electricity - Catégorie : Pollutions - Article extrait du site : lespiedsalaterre.org

DIRTY ELECTRICITY - La pollution des réseaux électriques est une conséquence de la prolifération de charges non linéaires qui engendrent des courants harmoniques et des distorsions dans les différents réseaux électriques, avec pour conséquence : Un réseau national de distribution de l’électricité (EDF) pollué, l’allure du courant se déformant et plus il y a d’utilisateurs, plus la pollution est importante. Une pollution harmonique présente dans les secteurs : industriels, tertiaires et résidentiels.

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Le rapport ANSES-compteurs communicants Linky, Gazpar, Eau, un avis bien incomplet ! - ANSES – Compteurs communicants, Linky, Gazpar, Eau - Avis CRIIREM - Décembre 2016 - Il est important de préciser que ce rapport porte sur les compteurs communicants dans leur ensemble. Il y a deux types de technologies qui devraient être prises en compte : les compteurs Linky qui utilisent le CPL (Courant Porteur en Ligne) et des modules radio nommés ERL (Émetteur Radio Linky) et les compteurs Gaz et Eau qui utilisent aussi des modules radio.

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Les OEM-HF (Ondes Electro-Magnétiques Hautes Fréquences)







                 

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Smartphone : un danger sérieux - Chronique publiée le 15/02/2017, Gary Laski - C’est paradoxal : lorsque les téléphones portables émettaient moins d’ondes électromagnétiques, nous étions plus au courant de leurs méfaits. Mais il faut croire que le smartphone est un marché trop juteux pour qu’on informe correctement la population sur ses dangers.


Un smartphone pour Noël, un cadeau empoisonné - Ondes électromagnétiques - Dominique Vialard, rédigé le 01 décembre 2015, article paru dans le journal nº 30 -  Noël approche et cette année encore les smartphones vont trôner sous le sapin, avec leurs forfaits illimités... Le smartphone, c’est l’orange de Noël des années 2000. Un beau signe apparent de richesse en plus ! Un cadeau pour le petit ou sa chérie ? Un modèle pour Papy ? Le nec plus ultra pour se faire plaisir ?... Cette révolution des communications est évidemment fabuleuse et c’est bien là le moteur de l’inconscience générale, mais on n’est pas forcé d’en tomber malade... Pour les fabricants et les opérateurs qui bombardent la population de promos et de packs spéciaux, en euros c’est vraiment Noël. Que d’occasions à saisir... Que de cadeaux "pratiques" et "géniaux" ...  On veut faire plaisir, on pense bien faire. Mais à l’exception des plus informés, qui a conscience qu’en offrant un smartphone c’est du poison qu’il procure à la personne aimée ? Pour un jeune déjà dépendant, c’est pire : c’est comme offrir une caisse de vodka à un alcoolique !


Emission "Hors Série", documentaire "Mauvaises ondes", par Sophie Le Gall, diffusé le 17 Mai 2011.


  les 3 documents ci-dessus en 1 PDF










Des médecins suisses préviennent des dangers des compteurs "intelligents"

https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=9892

KLA-TV # Klagemauer TV, tv suisse (taux de confiance cumulé : 85%)






Pr. Belpomme : "Les champs magnétiques sont néfastes pour la santé" - Lucas Roxo, Radio France, publié le 15/10/2013 - Le cancérologue Dominique Belpomme ne partage pas les conclusions du rapport de l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire) sur les ondes magnétiques remis mardi matin. Selon lui, une utilisation prolongée du téléphone portable aggrave les risques d'Alzheimer et de cancer du cerveau.

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Un précis scientifique magistral et accessible sur les ondes électromagnétiques - À découvrir - 28 novembre 2016 - Yves Heuillard (Reporterre) - Dans un magistral petit ouvrage de 128 pages à 6.90€, Carl de Miranda, polytechnicien et ingénieur en électricité, explique l’impact des ondes sur la santé et propose des stratégies pour s’en protéger.

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J'ai contacté un spécialiste en fournitures de mesures en lui demandant s'il avait un appareil qui permettrait de mesurer le CPL émis pour le linky sur nos lignes : Voilà sa réponse - LoLi Popi - 10.02.2017

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Les ondes cérébrales et le cerveau… - Vendredi 12 avril 2014, publié par Hélène Ollivier - Comprendre les bases du fonctionnement cérébral nous aide à mieux nous comprendre et à utiliser à bon escient des outils tels que ceux que nous utilisons dans les expériences exceptionnelles de conscience très élargie ou d’expériences extraordinaires. Nous verrons que le niveau d’énergie et l’alignement lors d’une expérience reste important pour introduire de la conscience à des niveaux vibratoires correspondant aux différents stades ondulatoires du cerveau.

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[Dossier] Les ondes électromagnétiques sont-elles dangereuses ? - 10 Juin, 2016, Wilhelm - Les ondes électromagnétiques sont présentes partout dans notre monde moderne : télévision, ampoules électriques et téléphones sont des objets utilisés au quotidien. Cependant, depuis le siècle dernier, un débat concernant les possibles dangers de ces ondes divise l’opinion publique. Le sujet est plus que jamais d’actualité au vu du monde dans lequel nous évoluons. Force est alors de se questionner : les radiations émises par les appareils électroniques nuisent-elles à notre santé ?

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  'dossier' type du temps : tout y est 'conditionnel', rien n'y est posé, faute de recul, donc d'études scientifiques fiables.








Source : http://www.attilog.net/danger.html


Sources

Calcul des zones de sécurité, comparaison selon les fréquences

Expérimentation de la mesure de l'exposition humaine aux champs électromagnétiques HF

Philippe Gassie 2001

Site pour informer sur la situation de l’irradiation de la population, de la nature et des animaux en hyperfréquences (micro-ondes) - electrosmog.info

Ondes électromagnétiques artificielles hautes fréquences

Sources et effets - Geobiologie.fr

La page WiFi de yves MAGUER

Champs Electromagnétiques

Mesures et valeurs

Loi française - Journal Officiel du 5 mai 2002 - Définition des valeurs limites (fichier PDF)

Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail - FAQ Champs électromagnétiques - afsset

electosmog.info : Puissances - Niveaux d'exposition - Normes - 0,6 V/m





Le Monde - 23 décembre 2016

Soupçons sur les ondes des téléphones portables

Les niveaux d’exposition aux radiofréquences annoncés par les fabricants sont dépassés en conditions réelles d’utilisation.



Dans la hotte des achats de Noël, les téléphones portables figurent en bonne place. Sans que les consommateurs soient clairement avertis de leur exposition aux radiofréquences de ces appareils et à leurs dangers potentiels. Car les données fournies par les fabricants sont fondées sur des tests effectués en laboratoire, selon des procédures très différentes des conditions réelles d’utilisation des mobiles. C’est ce que dénoncent aujourd’hui des militants "anti-ondes", qui y voient "un scandale industriel et sanitaire" de même nature que le "dieselgate".

Un "phonegate" donc ? Dans le cas présent, il ne s’agit pas d’une tricherie au sens strict, mais plutôt d’un brouillage des informations données aux usagers, à la faveur d’une réglementation laxiste. Les enjeux sanitaires n’en sont pas moins importants. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé les radiofréquences comme "peut-être cancérogènes pour l’homme". Et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a estimé, dans un rapport de juillet 2016, que ces ondes ont "des effets possibles sur les fonctions cognitives et le bien-être" des plus jeunes.

Le dossier est technique, ce qui contribue à son opacité. L’exposition aux radiofréquences émises et reçues par un téléphone portable est mesurée par le débit d’absorption spécifique (DAS), exprimé en watts par kilogramme (W/kg). Il s’agit de la quantité d’énergie absorbée, sous forme de chaleur, par les tissus biologiques. En Europe, une réglementation de 1999 a fixé la valeur à ne pas dépasser à 2 W/kg pour l’exposition de la tête et du tronc, et à 4 W/kg pour les membres.

Les fabricants respectent bien ces normes… du moins quand l’appareil n’est pas placé au contact du corps. Pour faire certifier leurs modèles, ils font en effet procéder à des essais en laboratoire. L’exposition au niveau de la tête est évaluée, non sur des cobayes humains, mais sur des mannequins remplis d’eau et de sucres. Pour le corps, on se contente de cuves d’eau.

Or, si, pour les tests au niveau de la tête, la réglementation impose que la mesure soit faite téléphone collé à l’oreille, pour ceux au niveau du reste du corps, elle laisse les industriels libres de fixer la distance à laquelle est placé l’appareil. Et de la choisir en sorte, précisément, que la limite d’exposition ne soit pas dépassée.

Des notices d’utilisation floues

A l’exception des modèles les plus récents, pour lesquels la distance lors des tests a été raccourcie, celle-ci était jusqu’ici d’environ 15 mm, avec un maximum de 25 mm. Ces quelques millimètres font toute la différence avec la vie réelle, dans laquelle le portable est couramment porté dans la poche de chemise, de veste ou de pantalon, au contact presque direct avec la peau. Rappelons que même quand l’utilisateur ne téléphone pas, son mobile, lorsqu’il est en veille, reste connecté et source de radiofréquences.

L’Agence nationale des fréquences (ANFR), l’établissement public chargé du contrôle de ce secteur, a fait procéder à ses propres évaluations, dans des laboratoires européens, sur un échantillon de 95 téléphones mobiles choisis dans différents points de vente entre début 2012 et fin 2014, et 71 autres sélectionnés au cours de l’année 2015. A une distance du corps de 1,5 cm, aucun ne dépassait la limite de 2 W/kg.

Mais elle a fait réaliser de nouvelles mesures avec, cette fois, l’appareil au contact du corps. Les résultats sont très différents. Ils sont rapportés dans l’avis de juillet 2016 de l’Anses. En 2015, peut-on y lire, "89 % des téléphones mesurés au contact par l’ANFR présentaient un DAS supérieur à 2 W/kg et 25 % un DAS supérieur à 4 W/kg". Quelques-uns atteignaient même 7 W/kg. Ces dépassements ne concernent pas l’exposition de la tête, mais du reste du corps.

Les industriels font valoir que les notices d’utilisation de leurs produits, de même que les informations accessibles en ligne ou sur le smartphone lui-même, mentionnent bien que les tests ont été menés à une certaine distance du corps et que celle-ci doit être respectée pour ne pas dépasser les niveaux d’exposition certifiés. Encore faut-il scruter à la loupe cette documentation pour le savoir. Au demeurant, l’ANFR a constaté que "la notice d’utilisation de 25 % des téléphones contrôlés présentant un DAS au contact du corps supérieur à 2 W/kg n’indiquait pas de distance minimale d’utilisation".


"Pas de portable pour les enfants"

Les résultats détaillés de cette contre-expertise n’ont pas été divulgués. Ex-coordinateur national de l’association Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques), Marc Arazi, aujourd’hui "expert indépendant", a vainement tenté de les obtenir. Il a saisi la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA), qui s’est déclarée "favorable" à la communication des données de l’ANFR, avant le 29 décembre.

Interrogé par Le Monde, Gilles Brégant, directeur général de l’établissement de contrôle, indique pourtant qu’il ne les rendra pas publiques. Motif : "La loi interdit leur communication à des tiers, ces données ayant été recueillies dans le cadre de procédures pouvant donner lieu à des sanctions." Sollicités directement, Apple et Samsung n’ont pas souhaité faire de commentaire.

L’ANFR n’est pas restée pour autant sans réaction. Elle a, indique son directeur, alerté les autorités françaises, qui se sont tournées vers la Commission européenne. Celle-ci a pris, en avril, une décision disposant que les tests de certification doivent être réalisés à une distance du tronc "ne dépassant pas quelques millimètres". Cette formulation laisse encore une marge de manœuvre aux industriels, mais, assure M. Brégant, "tous les appareils commercialisés depuis avril 2016 sont testés à 5 mm du corps". Cette mesure tardive ne règle rien, toutefois, pour tous les mobiles déjà en service. En France, 25 millions de téléphones portables sont mis chaque année sur le marché.

Sans doute la question du danger des radiofréquences reste-t-elle débattue. Mais pour Olivier Merckel, chargé des nouvelles technologies à l’Anses, le surcroît d’exposition aux ondes, en usage courant, par rapport aux niveaux affichés par les industriels, "doit faire l’objet d’une attention particulière pour les enfants et les personnes porteuses de dispositifs médicaux, comme des pacemakers [stimulateurs cardiaques], dont le fonctionnement peut être perturbé par des champs électriques, même faibles".

Porte-parole de l’association Robin des toits, Etienne Cendrier souligne que "le cerveau humain n’est pas fait d’eau et de sucre comme les mannequins des tests". Il ajoute que "les normes d’exposition, outre qu’elles sont très hautes, ne prennent en compte que les effets thermiques, à l’exclusion d’autres risques tels que de possibles cancers". La présidente de Priartem, Janine Le Calvez, en tire pour sa part une leçon radicale : "Pas de portable pour les enfants !"


Lire aussi :   Alerte sur les dangers des radiofréquences pour les enfants

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